Reconnaissables à leurs vestes vertes, remontées jusqu’au menton pour faire face à la nuit glaciale, les correspondant·es de nuit saluent les habitantes et les habitants qui rentrent chez eux ou, simplement, qui marchent sur le même trottoir de la rue de la Servette en ce samedi de janvier, en début de soirée. «Ça permet de lancer la conversation», explique Karim. Cet ancien enseignant en école technique travaille dans le domaine
Source: Le dialogue au cœur de la vie nocturne – Le Courrier